20 juin 2025 | Répondez au questionnaire pour aider les seniors !
centre social samatan maison de santé

Répondez au questionnaire pour aider les seniors !

Participez à la réflexion sur le bien-vivre des 65 ans et plus dans notre commune.

La commune de Samatan souhaite mieux connaître les besoins et les attentes des personnes de plus de 65 ans, afin d’adapter au mieux les services, les équipements, les projets de logement. Merci de prendre le temps de répondre à ce questionnaire anonyme en cliquant sur le QR Code ci-dessous.

Le questionnaire en ligne (cliquez sur le lien)

Vos réponses resteront strictement confidentielles.

Questionnaire en ligne jusqu’au 20 octobre 2025

[same_category category=103][/same_category]
20 mai 2025 | Dignité et recueillement

Dignité et recueillement

Émotion contenue, intensité, beauté des mots, respect, gratitude mais surtout mémoire… Ce 18 mai, Samatan a honoré un de ses fils : René Escafre. Ce gendarme a été élevé « Juste parmi les nations » par ses actes de bravoure lors du dernier conflit mondial.

Après Nuit et brouillard de Jean Ferrat, Francine Théodore Leveque, déléguée régionale Midi-Pyrénées du Comité français de Yad Vashem, a ouvert cette cérémonie émouvante et forte en symboles, notamment avec la lecture des remerciements des descendants des enfants sauvés et propos des petits-enfants.

Que la personne de René Escafre puisse servir d’exemple.

Plus de photos sur notre page Facebook

[same_category category=38][/same_category]
13 mai 2025 | René Escafre, « Juste parmi les nations »

René Escafre, « Juste parmi les nations »

Le 18 mai, à 12 h, place des Cordeliers, sera dévoilé une stèle. Un écrit dans la pierre pour honorer un homme qui, par son acte de bravoure, a sauvé des Juifs d’une mort promise : René Escafre.

En 1943, dans cette France occupée et salie, ce gendarme de Samatan désobéi à l’occupant nazi et à ses sbires du régime de Vichy en prévenant Aron Langbort qu’il a reçu l’ordre de l’arrêter et l’invite donc à aller se réfugier au presbytère de Samatan.

En juin 1944, la veille du débarquement en Normandie, il récidive en prévenant Goldka et Clara Langbort d’une rafle imminente.

Par ces gestes, René Escafre est reconnu Juste parmi les nations par l’Institut Yad Vashem – Institut international pour la mémoire de la Shoah – le 24 août 2022.

Souvenons-nous de cet acte admirable. Que la mémoire de cet homme puisse inspirer la gente humaine.

Retrouvez notre dossier en ligne complet sur René Escafre dans le numéro 50 de Mon village Samatan

Francine Théodore-Lévêque, déléguée régionale du Comité français pour Yad vashem
« Un grand honneur »

Elle s’apprête à vivre sa « seizième cérémonie ». Et, comme à chaque fois, l’émotion la saisira lorsque retentiront les premières notes du célèbre « Nuit et brouillard », de Jean Ferrat. « Pour moi, cela représente toujours un grand honneur et une fierté de mettre en avant l’action d’un Juste parmi les nations. »

Par-delà ce moment intense, c’est le sentiment de « rentrer dans l’histoire » que ressent Francine Théodore-Lévêque : « Nous ne nous cantonnons pas à l’action de René Escafre, nous allons essayer de trouver des ramifications autour de ce sauvetage et d’adresser un message sur cet acte. »

L’occasion aussi de porter une parole forte contre « l’antisémitisme, le racisme et la xénophobie ». Une parole d’autant plus urgente à répandre, tellement la déléguée régionale du Comité français pour Yad vashem constate avec effroi s’amplifier la méconnaissance de la Shoah.

Raison de plus pour encore et toujours témoigner, notamment auprès des jeunes générations. Voilà pourquoi elle se réjouit d’avance à l’idée de voir la stèle consacrée à René Escafre figurer à proximité de la passerelle d’accès de l’école Yves Chaze.

« L’histoire peut se reproduire si on ne tient pas compte des leçons du passé », prévient Francine. Mais son caractère optimiste et joyeux l’emporte toujours. « Ces cérémonies permettent de nouer des liens avec la population. Et, vous savez, à Samatan, je vais honorer mon deuxième gendarme, après le dénommé Hubert Landes, dans le Tarn », conclut-elle en souriant.

[same_category category=38][/same_category]
8 mai 2025 | Un 8 mai pour se souvenir et tirer les leçons du passé

Un 8 mai pour se souvenir et tirer les leçons du passé

Le 8 mai 1945, dans les ruines fumantes de Berlin, l’Allemagne nazie capitulait. 80 ans après, le souvenir traumatique du second conflit mondial résonne encore. À l’heure des bouleversements internationaux initiés par des hommes peu soucieux ou manipulateurs de l’histoire, il s’avère plus que jamais important de commémorer cette date.

L’occasion aussi pour le maire, Hervé Lefebvre, de rappeler avec force la fragilité de la liberté et de la démocratie : « Face à l’intolérance et aux extrémismes, restons vigilants et garants de nos valeurs républicaines et du respect de tous nos concitoyens quel que soit leur religion, leur origine, ou leur différence. Ne cédons pas aux discours de haine ou de stigmatisation, de plus en plus nombreux en France et à l’étranger. La république est une et indivisible. Comme les justes parmi les Nations ou les résistants, chacun d’entre nous se doit d’agir et de réagir par son courage civique et son sens moral face à l’inacceptable. »

Intégralité du discours du maire (cliquez ici)

Intégralité des photos sur notre page Facebook (cliquez ici)

[same_category category=38][/same_category]
20 mars 2025 | Un 19 mars pour se souvenir

Un 19 mars pour se souvenir

19 mars 1962, 12 h. C’est « officiellement » le début du cessez-le-feu en Algérie, près de 8 ans après le début de ce que l’on nommait à l’époque « les évènements ».

Ce 19 mars 2025, Norbert Falzon et les membres de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (Fnaca) se sont souvenus de cette période trouble et sanglante, en honorant leurs morts.

Ce 19 mars 1962 n’allait pas marquer la fin des violences. Il symbolisait pour beaucoup le début de la fin d’une époque : celle de la fin d’un empire vieux de 132 ans.

[same_category category=103][/same_category]
25 janvier 2025 | Ludovic Fortin, nouveau chef du Centre de secours

Ludovic Fortin, nouveau chef du Centre de secours

« Une continuité » dans son engagement. « Une envie de faire évoluer et progresser l’effectif. » Huit ans après son arrivée au Centre de secours et d’incendie, Ludovic Fortin, « pompier depuis 2003 », en prend les rênes à 39 ans. Huit ans comme le temps du bail de son prédécesseur, Pascal Violeau. Pour ce dernier, il s’agissait bel et bien de la der des ders (son départ prévu voilà un an a été ajourné, ndlr).

Pompier professionnel à Toulouse, Ludovic conserve l’enthousiasme de ses débuts : « Porter secours, envie d’aider les gens. Vingt-ans après, ce n’est pas épuisé. » L’un de ses défis sera de susciter de nouvelles vocations. « J’invite les gens à nous rejoindre. C’est plus accessible que l’on croit. »

Les médaillés de la Sainte-Barbe 2025 :

  • Caporal-chef Maxime Heriaud
  • Sergent-chef : Martial Voirin et Julien Tournay
  • Adjudant-chef : Steven Suanez et Aurélien Laclario

Médaille d’honneur échelon argent pour 20 ans de service à l’adjudant-chef Constant Cathelain.

Remise d’insignes d’animateur et responsable de section des Jeunes sapeurs-pompiers : Ludovic Fortin, Michel Saint-Cricq et Lionel Mothe

[same_category category=103][/same_category]
3 octobre 2024 | JL Martinez, le marcheur des blessés

JL Martinez, le marcheur des blessés

Une tendinite le contrarie depuis un mois. « Mais je n’ai pas le choix. Je ne peux pas décevoir les gens si près du but. » L’ancien adjudant-chef d’infanterie a conservé son sens du sacrifice. Aujourd’hui, le retraité Jean-Louis Martinez sillonne la France à pied pour « donner de la visibilité à tous les blessés pompiers, militaires, gendarmes et forces de l’ordre ».

Parti le 1er mai de Colmar, il a prévu d’arriver le 3 novembre dans sa ville de Roquefort-la-Bedoule. « J’ai déjà accompli environ 4000 km avec une moyenne de 25 à 27 km par jour. »

Pour son arrivée à Samatan, mercredi 2 octobre, les élu(e)s Pierre Long, Marlène Grebil, Flavie Fortin, Didier Villate et Christophe Vasseur – ainsi que des pompiers – ont entrepris un bout de chemin en sa compagnie depuis Saint-Soulan.

« Au moment de ma retraite, tout n’était pas net dans ma tête. J’avais le souvenir de mes neuf camarades morts et les blessés lors du bombardement de Bouaké, en 2004. Il fallait que je fasse quelque chose. J’ai écrit « Des mots pour les maux[1] » pour les blessés qui avaient besoin de ces écrits. » Et comme pour poursuivre sa mission, il a intitulé sa marche « Des kilomètres pour apaiser leurs maux ».

Bon à savoir :

Une cagnotte pour recueillir des fonds pour les associations Les invaincus (blessés militaires) et Breizh thin red line (pompiers blessés) est en ligne : https://www.leetchi.com/…/des-kms-pour-apaiser-leurs…

[1] Publié chez Edilivre, 252 pages, 35,50 €.

[same_category category=103][/same_category]